Sarko aurait perdu, la droite aurait pris la même branlée. C'est ce que les politiciens appellent la "presidentialisation des legislatives". Il parait logique que l'on vote pour le parti de la personne élue, afin de lui permettre de mettre en place son projet, ce qui conduit a dire que les legislatives pèsent de moins en moins lourd (a fortiori depuis le passage au quinquennat, et ce sera la même chose tant que l'opposition n'aura aucun statut).